Alain Gaymard Photographies

Accueil / Qui suis-je ?

 

Confucius a dit "choisissez un travail que vous aimez et vous n'aurez pas à travailler un seul jour de votre vie". 

Un peu malgré moi, sans regret et à mon plus grand plaisir, c'est le conseil que j'ai suivi. 

En effet, photographe par passion à l'origine, j'en ai fait par la suite mon métier. Je pratique la photographie depuis l'époque de l'argentique et me suis "converti" assez naturellement au numérique. 

Bien que mes techniques de travail aient évoluées avec l'ère du numérique, le Noir & Blanc est une constante présente depuis mes débuts à aujourd'hui. 

Sur le fond, je prépare les expositions autour d'un thème et organise mes voyages en fonction de celui-ci. 

Photographe impliqué et artiste généreux, je m'intéresse au monde hippique, aux voyages ainsi qu'à l'évolution de mon métier.

 

Alain Gaymard, la photographie comme passion …

Confucius a dit « choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie ». Voilà une citation qui sied à Alain Gaymard.

 

« Un peu malgré moi, sans regret et à mon plus grand plaisir, c’est le conseil que j’ai suivi. En effet, photographe par passion à l’origine, j’en ai fait par la suite mon métier. Je pratique la photographie depuis l’époque de l’argentique et me suis « converti » assez naturellement au numérique. Bien que mes techniques de travail aient évoluées avec l’ère du numérique, le noir et blanc est une constante présente depuis mes débuts jusqu’à aujourd’hui. Sur le fond, je prépare les expositions autour d’un thème et organise mes voyages en fonction de celui-ci. Photographe impliqué et artiste généreux, je m’intéresse au monde hippique, aux voyages ainsi qu’à l’évolution de mon métier. » Sont les paroles du photographe qui se présente à nous.

Un artiste à l’univers singulier,

Les travaux d’Alain Gaymard nous offrent un univers visuel et esthétique singulier. Ses photographies sont reconnaissables à leurs couleurs vives et leurs flous artistiques. L’artiste nous présente un monde onirique, faisant voyager le spectateur non seulement à travers une large palette chromatique mais également dans des sphères fantastiques, intrigantes, pittoresques et poétiques.

Allant de paysages inspirés de l’adaptation cinématographique de l’œuvre de Tolkien à des ambiances similaires à celles de Tim Burton, Alain Gaymard, ses travaux ont également une structure picturale qui révèle des inspirations de peintres surréalistes tel que Salvador Dali, ou plus photographiques comme les tirages de Sebastiao Salgado. L’artiste crée un univers comparable, incitant à la rêverie et à l’évasion.

L’artiste porte un regard nouveau sur des productions qui nous surprennent par le choix des thématiques, on retrouve des personnages masqués et mystérieux ; passant des créatures fantaisistes, aux voyageurs égarés, tout en gardant la force de ses captures. L’artiste invente une société incongrue et chimérique.  Cette appréhension de l’art vise à donner une image à la fois esthétique tout en misant sur un travail technique, en adoptant des points de vue variés qui accentuent l’onirisme créatif.

Son objectif est de capter l’instant et l’émotion des visages, des expressions, en révélant les sentiments les plus divers. Alain Gaymard est donc un photographe novateur, n’hésitant pas à associer différents genres et thèmes afin de créer un monde à la fois folklorique et irréel. L’artiste développe un style qui lui est propre donnant envie de s’évader dans ses créations oniriques.

Comment êtes-vous devenu artiste?

« Je pratique depuis longtemps la photo. J’ai débuté au temps de l’argentique et du labo, j’ai pratiqué le tirage sous l’agrandisseur en noir et blanc. J’ai été longtemps amateur avec en parallèle un emploi lié à l’informatique. Naturellement, après la sortie du numérique, et quand la qualité a été suffisante, je me suis converti au numérique. Depuis, je suis professionnel. »

Comment êtes-vous parvenu à la création de votre style?

« Je visite énormément d’expositions. Je trouve que, dans beaucoup d’entre elles, il n’y a pas beaucoup de recherche personnelle dans les photos, que cela soit au niveau prise de vues ou technique. La concurrence étant rude, j’essaie de développer un style qui puisse me différencier que cela soit tant au niveau des reportages que pour la création numérique. Certes cela m’ a fermé les portes de certaines agences photos qui me disent que ce n’est plus de la photo, mais cela m’en ouvre d’autres qui peut-être offriront de meilleures perspectives. Je me suis donc servi d’un outil que je maîtrise, l’informatique, pour réaliser mes créations et j’évolue de plus en plus dans ce sens. Les reportages ou autres photos destinées à la presse restent très peu travaillées, l’essentiel de mon travail se passant à la prise de vues. »

Quelle est l’œuvre phare de votre création?

« Actuellement, j’ai trois expositions différentes qui fonctionnent bien, et qui me sont demandées régulièrement. Deux expositions purement créatives, à partir de photos, une sur les masques du carnaval de Bâle, une sur les chevaux (avec deux styles différents) et une plus du style reportage, je suis depuis trois ans un cirque traditionnel, se déplaçant en roulotte. Je continue cette année (au moins) et un livre doit sortir.

Je parlerai donc d’un ensemble d’œuvres. »

Quel est votre rêve le plus fou?

« Mon rêve le plus fou serait de travailler avec une vraie galerie. Pas une galerie qui a comme seul but de louer ses murs, mais une galerie qui s’occupe réellement de promouvoir ses artistes, avec une vraie collaboration. Bref, une vraie galerie. Mais ce n’est pour le moment qu’un rêve. »

Quelle est l’œuvre qui a bouleversé votre vision de l’art?

« A force de rencontres et de discussions, j’ai appris le style de photos qui me ressemblait le plus. J’ai participé deux ans de suite au Trophée Alain Godon, au Touquet, qui malheureusement n’existe plus. C’est la première fois que je faisais une exposition mélangée avec des peintres de tous styles. Bien que j’y ai présenté déjà mes Dessins hippiques, photos transformées en dessins, donc des travaux numériques, je pense que c’est là que j’ai voulu ne plus me cantonner à la photo « pure et dure » et m’orienter vers la création numérique. Les possibilités sont infinies, limitées par la seule imagination. »

Quel artiste vous fascine?

« Plusieurs artistes me fascinent je citerai entre autre:

- Salvador Dali parmi les peintres.

- Salgado ou Sarah Moon parmi les photographes. »

Une époque, un mouvement artistique qui vous inspire?

« Je suis inspiré par les surréalistes. Je suis complètement fan de l’univers de Dali ou Magritte. »

Votre citation, expression favorite?

« Il n’y a qu’une façon d’échouer, c’est d’abandonner avant d’avoir réussi ». Georges Clémenceau.

Quelles émotions stimulent votre travail?

« Lors de mes prises de vues, il faut que je me sois imprégné du sujet. Avec le cirque, par exemple, je dois avoir créer une certaine complicité avec les artistes. Je recherche également une certaine originalité dans le résultat final. Je souhaite que ma photo déclenche pour le spectateur une envie de connaitre le lieu (paysages) ou le sujet photographié et bien sur d’en savoir plus sur mon travail. Chaque photo présentée doit faire partager l’ambiance présente sur le lieu de prise de vues. Cette ambiance peut être baignée par la nostalgie et le romantisme, comme pour les paysages d’hiver par exemple ou être dramatique et mystérieux comme pour les châteaux, paysages tourmentés, montages… »